Fig 1 - uploaded by Nicolas Carels
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Résumé des relations évolutives des Angiospermes, Cycadophytes e t Glossopterides et de leurs origines dans l'échelle des temps g é o l o g i q u e s (modifié de Stewart et Rothwell, 1993). Medul. = Medullosaceae ; Lyg. = L y g i n o p t e r i d a c e a e ; Call. = Callistophytaceae ; Pen. = Pentoxylales ; Czek. = Czekanowskiales ; San. = S a n m i g u e l i a ; Coryst. = Corystospermaceae ; Pelt. = Peltaspermaceae. 

Résumé des relations évolutives des Angiospermes, Cycadophytes e t Glossopterides et de leurs origines dans l'échelle des temps g é o l o g i q u e s (modifié de Stewart et Rothwell, 1993). Medul. = Medullosaceae ; Lyg. = L y g i n o p t e r i d a c e a e ; Call. = Callistophytaceae ; Pen. = Pentoxylales ; Czek. = Czekanowskiales ; San. = S a n m i g u e l i a ; Coryst. = Corystospermaceae ; Pelt. = Peltaspermaceae. 

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The work presented here shows, by a detailed analysis of the genomic features of Gramineae, that their common ancestor did the experience of a compositional transition leading to the increase in GC level of all parts of the genome and of the genes. By contrast, this transition did not occur in a number of Dicots and Monocots. With regard to GC leve...

Contexts in source publication

Context 1
... total. Le contenu en mC des fractions compositionnelles dépend fortement de leur composition en GC (Matassi et al., 1993 Matassi et al., 1991 (Goodspeed, 1954 ;Sheen, 1972 ;Gray, 1974). Les gènes qui hybrident avec les fractions de pourcentage en GC plus faibles appartiennent à N. tomentosiformis, les autres étant le fait de N. sylvestris (Fig. 10). Matassi et al., ...
Context 2
... et Lukaszewski, 1991 ;Gill et al., 1993Gill et al., , 1996aMickelson-Young e t al., 1995) et le seigle (Lukaszewski, 1992 ;Alonso-Blanco et al., 1995), les cartes physiques préliminaires actuellement disponibles vont dans ce sens. Elles montrent que les séquences codantes sont localisées dans la partie distale à sub-télomérique des chromosomes (Fig. 11). La colinéarité entre espèces de la tribu des Triticeae est maintenant u n fait acquis (Bennetsen et Freeling, 1993 ;Moore, 1995 ;Moore 1995 ;Moore e t al., 1995a,b ;Gale et Devos, 1998) (Fig. 12). Elle permet d'établir que, dans les groupes de liaison homéologues, l'ordre des gènes est similaire, ce qui implique que la quantité d'ADN ...
Context 3
... disponibles vont dans ce sens. Elles montrent que les séquences codantes sont localisées dans la partie distale à sub-télomérique des chromosomes (Fig. 11). La colinéarité entre espèces de la tribu des Triticeae est maintenant u n fait acquis (Bennetsen et Freeling, 1993 ;Moore, 1995 ;Moore 1995 ;Moore e t al., 1995a,b ;Gale et Devos, 1998) (Fig. 12). Elle permet d'établir que, dans les groupes de liaison homéologues, l'ordre des gènes est similaire, ce qui implique que la quantité d'ADN intergénique est corrélée à la taille du génome (Moore, 1995). Cependant, les séquences répétées de ces espèces ont divergé ( Rimpau et al., 1980) durant la spéciation et l'isolement génétique des ...
Context 4
... thaliana En effet, les résultats de la figure 15 attestent l'existence de corrélations compositionnelles entre séquences codantes orthologues ou positions des codons des Solanaceae et des Fabaceae. De plus, des coefficients de corrélations mêmes supérieures sont obtenus dans les comparaisons faisant intervenir les graminées (Fig. 17) Gè ne ...
Context 5
... résultats montrent que dans les gènes de la classe des gènes riches en GC, les segments riches en GC 3 ont tendance à être plus conservés à la fois au niveau des positions synonymes et des acides aminés, alors que dans la classe des gènes pauvres en GC, les segments riches en GC 3 (Fig. 17). Ces résultats sont en accord avec les résultats obtenus chez les mammifères ( Alvarez-Valin et al., 1997 (Fig. 24). Les deux modes de la distribution des gènes chez le maïs permettent de distinguer deux classes de gènes : les gènes pauvres en GC (40 -55%) et les gènes riches en GC (55 -75%). Des caractéristiques semblables ont été ...
Context 6
... Arabidopsis et le maïs (Chiapello et al., 1998 Ce phénomène est particulièrement clair sur le bras de 12 à 26 Mb où la densité de séquençage atteint 50%. Les vagues compositionnelles sont déjà perceptibles à l'échelle inférieur à celle des contigs. En effet, la variabilité de composition en GC à l'intérieur de ceux-ci est comprise entre 6 et 10% (Fig. 31). Il est intéressant de constater que ces vagues compositionnelles sont maintenues dans les zones de transition (A de la Fig. 31) entre étages compositionnels différents (B de la Fig. 31 Le niveau de GC correspondant à l'amplitude moyenne des vagues compositionnelles des contigs diminue, cependant, régulièrement depuis les régions ...
Context 7
... séquençage atteint 50%. Les vagues compositionnelles sont déjà perceptibles à l'échelle inférieur à celle des contigs. En effet, la variabilité de composition en GC à l'intérieur de ceux-ci est comprise entre 6 et 10% (Fig. 31). Il est intéressant de constater que ces vagues compositionnelles sont maintenues dans les zones de transition (A de la Fig. 31) entre étages compositionnels différents (B de la Fig. 31 Le niveau de GC correspondant à l'amplitude moyenne des vagues compositionnelles des contigs diminue, cependant, régulièrement depuis les régions distales vers la région centrale (Fig. ...
Context 8
... déjà perceptibles à l'échelle inférieur à celle des contigs. En effet, la variabilité de composition en GC à l'intérieur de ceux-ci est comprise entre 6 et 10% (Fig. 31). Il est intéressant de constater que ces vagues compositionnelles sont maintenues dans les zones de transition (A de la Fig. 31) entre étages compositionnels différents (B de la Fig. 31 Le niveau de GC correspondant à l'amplitude moyenne des vagues compositionnelles des contigs diminue, cependant, régulièrement depuis les régions distales vers la région centrale (Fig. ...
Context 9
... génomes de l'homme et du maïs sont 2 génomes de taille des isochores pauvres en GC) (Bernardi et al., 1985;Bernardi, 1989 ;Bernardi, 1995). H3 a été, pour cette raison, dénommé : noyau génomique (genome core). Chez le maïs (cf. Tableau 5 et Fig. 41 ainsi que Salinas et al., 1988 ;Matassi et al., 1989 ;Montero et al., 1990 ;Matassi et al., 1991, où l'on voit des exemples supplémentaires de localisation de gènes dans des fractions compositionnelles), tous les gènes codant pour des protéines fonctionnelles, abstraction faite des zéines, sont concentrés dans un intervalle ...
Context 10
... l'on voit des exemples supplémentaires de localisation de gènes dans des fractions compositionnelles), tous les gènes codant pour des protéines fonctionnelles, abstraction faite des zéines, sont concentrés dans un intervalle compositionnel de 1 à 2% de GC qui correspond à 10 à 20% du génome et que nous avons dénommé : espace génique (gene space) (Fig. 41B). Cette situation est très emblable à celle que nous avons observé chez Arabidopsis ( §II.2.1). Les ADNc ont été choisis au hasard, afin de couvrir uniformément toute la gamme de GC 3 de la distribution de gènes telle qu'elle est obtenue à partir de GenBank (Fig. 41B') Les faibles différences de densité de flottaison des espaces ...
Context 11
... à 10 à 20% du génome et que nous avons dénommé : espace génique (gene space) (Fig. 41B). Cette situation est très emblable à celle que nous avons observé chez Arabidopsis ( §II.2.1). Les ADNc ont été choisis au hasard, afin de couvrir uniformément toute la gamme de GC 3 de la distribution de gènes telle qu'elle est obtenue à partir de GenBank (Fig. 41B') Les faibles différences de densité de flottaison des espaces géniques dans différents génomes peuvent être dues à de légères différences compositionnnelles intrinsèques ou à des différences au niveau de la méthylation. En effet, la méthylation entraîne une diminution de la densité de flottaison de l'ADN de 0,7 g/cm 3 par 1% de ...
Context 12
... dans une moindre mesure, été influencés par les déterminants de la transition compositionnelle comparé à H3 ou H4, il résulte que (i) la concentration génique augmente dans les compartiments les plus riches en GC du génome Chez les Angiospermes, les distributions compositionnelles des gènes sont largement superposables dans la partie pauvre en GC (Fig. 14), alors que les distributions des familles d'isochores ne le sont plus (Salinas et al., 1988 ;Fig. 44). Cette dernière observation est surprenante eu égard au caractère concerté de l'évolution des séquences codantes et non codantes durant la transition compositionnelle des vertébrés. (Gillespie, 1977 ;Gillespie e t al., 1980 ;Hwu et ...

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